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A propos de moi
On peut me qualifier d’amoureux de la nature. Je passe une bonne partie de mon temps libre en
forêt ou à la montagne pour de la course à pieds, du VTT, de la randonnée ou de la photo. J’apprécie ces lieux pour le calme qui y règne, j’y trouve quelque chose de ressourçant. J’estime recevoir beaucoup de la nature et j’ai eu envie de faire quelque chose pour elle à mon tour.
En parallèle, j’entends de plus en plus parler de lutte contre la déforestation, d’amélioration des conditions de vies de populations pauvres ou de la sauvegarde de la biodiversité, autant de concepts que mes études en économie ne me permettaient pas d'appréhender concrètement.
Le WWF s’engage pour toutes ces causes, alors quand l’opportunité s’est présentée de me rendre sur le terrain, à Madagascar, pour participer aux projets qui y sont menés, j’ai tout de suite sauté sur l'occasion…
Le WWF s’engage pour toutes ces causes, alors quand l’opportunité s’est présentée de me rendre sur le terrain, à Madagascar, pour participer aux projets qui y sont menés, j’ai tout de suite sauté sur l'occasion…
Ce que j'ai appris?
- J'ai vu de quelle manière la lutte contre la pauvreté est liée à la sauvegarde de l’environnement. J’ai pu constater dans quelles conditions des hommes et des femmes vivent et ce à quoi ils sont confrontés chaque jour. J'ai pu constater que les atteintes à la forêt sont bien souvent causées par un manque de moyen ou de connaissances.
- J’ai pu voir que malgré leurs moyens dérisoires par rapport à ceux des pays développés, une grande partie de ces gens est consciente des problèmes liés à leur environnement et perçoivent les changements climatiques plus clairement que nous.
- J’y ai appris que l’on peut vivre dignement dans les conditions les plus simples, que l’on y vit même plus heureux que bien des personnes dans les pays riches car on est moins à la recherche de plaisirs matériels et bien plus attaché à des aspects relationnels.
- J’ai aussi été confronté à ma propre impuissance à résoudre bon nombre de leurs problèmes en raison de l’inexistence d'infrastructures, du manque d’argent, de la corruption ou de différences culturelles.
© WWF / Gabriel Krähenbühl
© WWF / Gabriel Krähenbühl
Après Madagascar
Ma participation au programme Explore m'a beaucoup enrichi, mais elle avait aussi pour objectif de remettre en questions plusieurs aspects personnels de ma vie.
C’est chose faite aujourd’hui et avec un recul de quelques mois, je peux vous assurer que si c’était à refaire, je repartirais demain. J’ai traversé des moments difficiles à de nombreuses reprises, j’ai eu du mal à m’adapter au mode de vie malgache, mais ce que j’ai appris là-bas, je n’aurais pu l’apprendre nulle part ailleurs.
Pour les prochains...
A ceux qui s'apprêteraient à partir, je vous encourage à prendre avec vous une bonne dose de patience, un grand sourire et beaucoup de curiosité. Soyez conscients que vous ne pourrez pas tout changer, faites de votre mieux et vivez cette expérience à fond, c'est tout ce qu'on peut vous demander....
A prendre avec vous une bonne dose de patience, un grand sourire et beaucoup de curiosité.
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